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d’accepter) ; ou peut-être moins innocemment comme telle vieille fleuriste qui voulait toujours me donner une rose et me faisait les yeux doux. En tous cas si la marquise avait du goût pour les garçons très jeunes, en leur ouvrant la porte de ces cubes souterrains comme les hypogées égyptiennes et où les hommes sont accroupis comme des sphinx, elle devait chercher dans ses générosités moins l’espérance de nous corrompre, que le plaisir de se montrer vainement prodigue envers ce qu’on aime, car je n’avais jamais vu d’autre visiteur auprès d’elle qu’un vieux garde forestier du jardin. Ce fut encore lui que je retrouvai quand, suivant ma grand’mère qui la main devant sa bouche, avait probablement une nausée, je montai les degrés du petit théâtre rustique, édifié au milieu des jardins. Au contrôle, comme dans ces cirques forains où le clown, prêt à entrer en scène et tout enfariné, reçoit lui-même à la porte le prix des places, la « Marquise », percevant les entrées, était toujours là avec son museau énorme et irrégulier enduit de plâtre grossier, et son petit bonnet de fleurs rouges et de dentelle noire surmontant sa perruque rousse. Mais je ne crois pas qu’elle me reconnut. Le garde délaissant la surveillance des verdures à la couleur desquelles était son uniforme, causait, assis à côté d’elle. « Alors, disait-il, vous êtes toujours là. Vous ne pensez pas à vous retirer. » « Et pourquoi que je me retirerais Monsieur. Voulez-vous me dire où je serais mieux qu’ici où j’aurais plus mes aises et plus de confortable. Et puis toujours du va-et-vient, de la distraction ; c’est ce que j’appelle mon petit Paris ! mes clients me tiennent au courant de ce qui se passe. Tenez, Monsieur, il y a en un qui est sorti il n’y a pas plus de