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208 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

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��Ton rire défaille ; ton sourire

s* est posé comme un masque a tes lèvres ;

Je te parle, et ne sais que dire ;

ta main est chaude de fièvre ;

ton cœur a douté et s'étonne ; ton songe tressaille, en entrant dans r ombre embaumée de V automne : tu as froid au cœur, mon printemps !

Vais-je crier mon angoisse et me tordre mes mains et pleurer et dire aux jours qui décroissent que rété rna leurré f

Je suis fort : f ai vaincu, je veux vivre par delà les avrils et les mais — nous sommes, ô ma vie, ce livre qui fleurit a jamais !

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