l82 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE
— Les Marches de PEst : " Le vieux sonneur ", par Georges Ducrocq.
— Les Cahiers de la Quinzaine (23 novembre) : " Une philosophie pathétique ", par Julien Benda.
— Les Bandeaux d^or (octobre) : Poèmes de Luc Durtain, G. Duhamel, P. Castiaux, P. J. Jouve.
— V Effort Libre : " De la déclamation du vers français ", par André Spire.
— La Renaissance Contemporaine : "La Mélodie et l'Art musical ", par M. Jean Huré.
— Poème et Drame : " Trois poèmes simultanés ", de MM. Barzun, Divoire et Voirol.
— L^ Occident (novembre) : " l'Héritage de la tragédie classique", par M. Henry Dérieux.
— Le Mail (novembre) : " Le Père " de M. Georges Valois.
— VArt et les Artistes : " Albert Marquct ", par M. Marcel Sembat.
— Les Cahiers d^ Aujourd'hui : " Le Calvaire " de Ch. L. Philippe. — " Lettres" de Jules Renard.
Revues allemandes :
Dans la Zukunft du i*"" Novembre, un extrait de l'ouvrage que le peintre Erich Hancke consacre à Liebermann, l'un des premiers impressionnistes allemands, l'un de ceux aussi qui ont le plus profondément subi l'influence française. En quoi Liebermann se distingue-t-il des impressionnistes français ?
" Chez ceux-ci l'art vient d'ailleurs et il va ailleurs. Il con- siste non en juxtapositions, mais en relations, ce qui revient à continuer, avec plus de rigueur logique, une tradition ancienne. D'eux à Franz Hais il n'y a pas si loin... Eux aussi demeurent purement objectifs., et c'est la différence foncière qui les sépare des " Stimmungsmaler ", des peintres d'âme, qu'ils créent des
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