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XXI.
J’ai cru être agréable à mes lecteurs en publiant, au
cours de cette étude, comme spécimen de la musique en
vogue au dix-septième siècle, un noël[1] écrit sur un air
de vaudeville, d’un caractère absolument distingué. Le
même motif m’engage à me servir du même procédé vis-à-vis
d’eux pour mieux leur faire connaître, et partant
apprécier, le recueil Daulé. De tous les cantiques de
Noël qu’il renferme, Votre divin Maître en est, à mon
humble avis, le plus remarquable au point de vue littéraire
et musical. Il a ceci de particulier que chacun de
ses couplets est écrit sur un air différent. Cette singularité
me paraît assez rare et mérite d’être signalée.
VOTRE DIVIN MAÎTRE.
L’Ange.
- ↑ Cher Enfant qui viens de naître, etc. Cf : page 137 de ce livre.