Page:Musset - La Confession d’un enfant du siècle, vol. I, 1836.djvu/217

Cette page n’a pas encore été corrigée

« Tout ce qu’il y avait de bien en cela, supposé qu’il pût y en avoir quelqu’un, c’est que ces faux plaisirs étaient des semences de douleurs et d’amertumes, qui me fatiguaient à n’en pouvoir plus. » Telles sont les simples paroles que dit, à propos de sa