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Ils me disaient : « On convient de ceci ou de cela, on prononce telles phrases qui en font répondre telles autres, on écrit des lettres de telle façon, on se met à genoux de telle autre. » Tout cela était réglé comme une parade ; ces braves gens avaient des cheveux gris.

Cela me fit rire. Malheureusement pour moi, je ne puis dire à une femme que je méprise que j’ai de l’amour pour elle, même en sachant que c’est une convention et qu’elle ne s’y trompera pas. Je n’ai jamais mis le genou en terre sans y mettre le cœur. Ainsi cette classe de femmes qu’on appelle faciles m’est inconnue, ou si je m’y suis laissé prendre, c’est sans le savoir et par simplicité.

Je comprends qu’on mette son âme de côté, mais non qu’on y touche. Qu’il y ait de l’orgueil à le dire, cela est possible ; je n’entends ni me vanter, ni me rabaisser. Je hais