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Le comte.

Vous me comblez de joie !… comment vous exprimer…

La marquise.

Mais fermez donc cette malheureuse porte ! cette chambre ne sera plus habitable.

FIN DE IL FAUT QU’UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERMÉE.

Le succès imprévu du Caprice donna l’idée aux artistes de la Comédie-Française de chercher parmi les ouvrages d’Alfred de Musset quelque autre pièce du même genre. Madame Allan-Despréaux et M. Brindeau choisirent le proverbe : Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée, publiée par la Revue des Deux Mondes en 1845. Ce petit acte, joué sans aucun changement par les mêmes artistes que le Caprice, fut écouté avec le même plaisir. Depuis le 7 avril 1848, qu’on l’a représenté pour la première fois, il est resté au répertoire du Théâtre-Français.