Tout est pour le mieux, et votre jardin est charmant. Il n’y a qu’en Italie qu’on en trouve d’aussi délicieux.
Oui, c’est un jardin anglais. Vous ne désireriez pas de vous reposer ou de prendre quelques rafraîchissements ?
Nullement.
Que dites-vous de mes musiciens ?
Ils sont parfaits ; il faut avouer que là-dessus, monsieur le marquis, votre pays mérite bien sa réputation.
Oui, oui, ce sont des Allemands. Ils arrivèrent hier de Leipsick, et personne ne les a encore possédés dans cette ville. Combien je serais ravi si vous aviez trouvé quelque intérêt dans le divertissement du ballet !
À merveille, et l’on danse très bien à Venise.
Ce sont des Français. Chaque bayadère me coûte deux cents florins. Pousseriez-vous jusqu’à cette terrasse ?
Je serai enchanté de la voir.
Je ne puis vous exprimer ma reconnaissance. À quelle