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Tibia.
Eh bien ! elle vient de ce côté, avec un, deux, trois laquais. C’est une femme respectable.
Claudio.
Oui, ses biens sont considérables.
Tibia.
J’entends aussi qu’elle a de bonnes mœurs. Si vous l’abordiez, monsieur ?
Claudio.
Y penses-tu ? La mère d’un jeune homme que serai peut-être obligé de faire poignarder ce soir même ? Sa propre mère, Tibia ! Fi donc ! Je ne reconnais pas là ton habitude des convenances. Viens, Tibia, rentrons au logis.
- Ils sortent.
4. — page 158.
HERMIA, MALVOLIO, plusieurs domestiques, puis CŒLIO.
(Cette scène, transposée par l’auteur pour la représentation, s’enchaîne avec celle entre Claudio et Tibia, et termine le premier acte.)
5. — page 162.
Hermia.
… On trouva dans sa chambre le pauvre jeune homme frappé de plusieurs coups d’épée.
Cœlio.
Il a fini ainsi ?
Hermia.
Oui, bien cruellement.
Cœlio.
Non, ma mère, elle n’est point cruelle la mort qui vient