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Marianne.
Ni Cœlio ; vous pouvez le lui dire.
Octave.
Pourquoi ?
[Marianne.
Pourquoi n’aimerais-je pas Claudio ? C’est mon mari.
Octave.
Pourquoi n’aimeriez-vous pas Cœlio ? C’est votre amant.]
Marianne.
Me direz-vous aussi pourquoi je vous écoute ? Adieu, seigneur Octave ; voilà une plaisanterie qui a duré assez longtemps.
- Elle sort.
Octave.
Ma foi ! ma foi ! Elle a de beaux yeux.3
- Il sort.
Scène II
[La maison de Cœlio.]
HERMIA4, plusieurs domestiques, MALVOLIO.
Hermia.
[Disposez ces fleurs comme je vous l’ai ordonné ;] a-t-on dit aux musiciens de venir ?
Un domestique.
Oui, madame ; ils seront ici à l’heure du souper.