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LA RESTAURATION DE LA CHANSON. — J’arrive à pied de ma province (air de Vimeux). — 297.
SOUVENIRS D’ENFANCE. — Air de la valse des Comédiens (de Miller). — 298.
LE VIEUX VAGABOND. — Guide mes pas, ô Providence (air de Cherubini, dans les Deux Journées). — 299.
COUPLETS AUX HABITANTS DE L’ÎLE DE FRANCE. — Tendres échos errants dans ces vallons (air de Gilles, employé dans le vaudeville de la Somnambule). — 300.
CINQUANTE ANS. — Air du Partage de la richesse (de Doche, dans Fanchon la Vielleuse) ; Béranger n’avait pas indiqué de timbre pour cette chanson. — 301.
JACQUES. — Air de Jeannot et Colin. — 302.
LES ORANGS-OUTANGS. — Air de Calpigi. Salieri (dans Tarare). — 303.
LES FOUS. — Ce magistrat irréprochable (air de Wicht). — 304.
LE SUICIDE. — Air d’Agéline (de Wilhem). — 305.
LE MÉNÉTRIER DE MEUDON. — Air de la contredanse des Petits Pâtés (air employé dans le vaudeville de Piron à Beaune). — 306.
JEAN DE PARIS. — Cette chaumière-là vaut un palais. — 307.
PRÉDICTION DE NOSTRADAMUS. — Air des Trois Couleurs (de Vogel). — 308.
PASSY. — Dis-moi, soldat, dis-moi, t’en souviens-tu (air tiré du vaudeville des Deux Edmond, de Doche). — 309.
LE VIN DE CHYPRE. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 310.
LES QUATRE ÂGES HISTORIQUES. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 311.
LA PAUVRE FEMME. — Air du vaudeville de Décence. — 312.
——— Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer). — 312 bis.
——— Air de M. Gaubert. — 312 ter.
LES TOMBEAUX DE JUILLET. — Air de la valse des Comédiens (de Miller). — 313.
ADIEU, CHANSONS. — Air d’Agéline (de Wilhem). — 314.


CHANSONS PUBLIÉES EN 1847.


NOTRE COQ. — Air : Madelon s’en fut à Rome. — 315.
LE GRILLON. — Air de Jeannot et Colin. — 316.
——— Air nouveau (de Frédéric Bérat). — 316 bis.