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MON CARNAVAL. — Air des Chevilles de maître Adam (chanson de Laborde). C’est sur cet air de Laborde que Béranger a composé son Carnaval ; mais la musique de Meissonnier était d’une inspiration si heureuse que lui-même l’adopta, et qu’il composa depuis différents airs sur son timbre. — 177 bis.
L’OMBRE D’ANACRÉON. — Air de la Sentinelle (de Choron) ; le ton est en si ♭. — 178.
L’ÉPITAPHE DE MA MUSE. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 179.
LA SYLPHIDE. — Je ne sais plus ce que je veux (romance de Romagnési). — 180.
LES CONSEILS DE LISE. — Air de la Treille de sincérité (de Désaugiers). — 181.
LE PIGEON MESSAGER. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 182.
L’EAU BÉNITE. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (air de Dezède, dans l’Erreur d’un moment). — 183.
L’AMITIÉ. — Quand des ans la fleur printanière (air du ballet de la Dansomanie) ; le ton est en si ♭. — 184.
LE CENSEUR. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche), ou de la Robe et les Bottes. — 185.
LE MAUVAIS VIN. — On dit partout que je suis bête. — 186.
LA CANTHARIDE. — Air des Comédiens, ou un Tour de jardin (valse dite des Comédiens, de Miller). — 187.
LE TOURNEBROCHE. — Le bruit des roulettes gâte tout. — 188.
LES SCIENCES. — Air des Mauvaises têtes (Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson) ; le ton de l’air des Mauvaises têtes est en si ♭. — 189.
LE TAILLEUR ET LA FÉE. — Air d’Angéline, de Wilhem. — 190.
LA DÉESSE. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche) — 191.
LE MALADE. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 192.
LA COURONNE DE BLUETS. — J’ai vu partout dans mes voyages (Louis Jadin ; dans Jaloux malgré lui). — 193.
——— Air portant le même timbre, par Plantade. — 193 bis.
L’ÉPÉE DE DAMOCLÈS. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 194.
LA MAISON DE SANTÉ. — Air du Ménage de garçon, ou Je loge au quatrième étage (air de Bouffet sur une chanson de Joseph Pain). — 195.