Ce sera une histoire comme celle de la pie voleuse. Je crois que c’est votre chatte qui a apporté tout ça dans ma paillasse. L’autre jour, elle y a bien apporté quatre petits chats.
Votre excuse est trop grossière… Monsieur Guignol, j’ai pu supporter votre bêtise et votre maladresse ; mais je ne garde pas les voleurs dans ma maison… les voleurs, je les chasse… Sortez de chez moi sur-le-champ.
Mais, Monsieur…
Je ne me laisse pas toucher par vos larmes ; elles sont feintes… Allez vous faire pendre ailleurs.
Eh ben, non ; comme je suis-t-innocent, je ne m’en irai pas, na !… C’est trop bête aussi !
Ah ! vous le prenez sur ce ton ; vous m’injuriez !… Je vais avertir M. le Bailli & la maréchaussée, & nous verrons si vous resterez dans ma maison malgré moi, malheureux ! (Il sort.)
Ah ! mon Dieu ! il le fera comme il le dit !… Que de-