gros corps, qui semble y être insensible, et qui continue majestueusement à se mouvoir sans montrer qu’il en ait ressenti les effets. — L’aéroplane chargé de 100 kilogrammes devra donc se mouvoir avec encore plus de tenue et de régularité que l’oricou.
Que sera-ce donc quand du poids de 100 kilogrammes on passera à 500 ou à 1,000 kilogrammes. On peut être assuré que les accidents de vol, à puissance de vent égale, diminueront encore bien plus.
Pour le poids de 100 kilogrammes l’intuition donne une idée saine de cette allure ; on a presque des points de repère pour se retrouver ; mais arrivé au poids de 1,000 kilogrammes on ne sait plus rien, et pour 10, 000 c’est l’inconnu absolu.
Cependant, jusqu’à preuve du contraire, il semble que les bénéfices continueront à se mettre à l’avoir du poids le plus important.