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que leurs efforts ne soient pas perdus.

— Oui, ma tante ; prions pour ceux qui sont loin. de Dieu ; et vous, qui êtes si bonne, priez aussi pour Jean. Je serais bien content qu’il eû de la religion.

— Tu es un aimable enfant ; viens m’embrasser. » Lucien embrassa sa tante ; puis il lui souhaita une bonne nuit et fut se coucher.

III.

Le lendemain, notre petit garçon se mit à l’étude avec une nouvelle ardeur ; ct quand il cut fini, il demanda à être conduit chez Jean. Sa tante ne le fit point atten- dre. Ils so mirent en route et arrivèrent bientôt chez le pêcheur Jean Colombet. Une hutte délabrée lui servait de demeure ; et si la misère se laissait deviner à la porte, elle se montrait au dedans. Point de meu- bles ; mais seulement quelques instru- ments de pêche étaient çà et là. Lucien aperçut bientôt son protégé occupé à rac- Lucian,