Page:Morphy - Le vampire, 1886.djvu/345

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
345
LES MYSTÈRES DU CRIME

Il retraça des scènes de l’Inquisition

— Au revoir, cher maître, à bientôt.

Cette rapide conversation avait pu être échangée sans attirer l’attention.

Les paroles de Jean-Baptiste Flack et du docteur se perdaient au milieu des vociférations des gardes.

D’ailleurs, Flack n’était guère suspect. Il était un de ceux qui s’étaient emparés de Lucien Bartier après le meurtre de l’agent Haroux.

Il s’éloigna rapidement, heureux du hasard qui lui avait fait rencontrer inopinément son maître.