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Loin des villes, je veux sur les falaises mornes
Secouer la torpeur de mes obsessions,
— Et mes pensers, pareils aux calmes alcyons,
Monteront à travers l’immensité sans bornes.
Loin des villes, je veux sur les falaises mornes
Secouer la torpeur de mes obsessions,
— Et mes pensers, pareils aux calmes alcyons,
Monteront à travers l’immensité sans bornes.