Cette page n’a pas encore été corrigée
Aux accords pénétrants d’anciennes ritournelles,
Elles bercent nos cœurs pleins d’ennui ; ce sont elles
Qui pansent doucement nos blessures mortelles,
Elles qui, sur nos cils, viendront sécher nos pleurs.
— Et le temps, émondeur de beautés et de fleurs,
Met sur leur front vieilli de plus fraîches couleurs.