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Festins mentis aux affamés,
Promise nef qui soudain cule,
Leurres de fleuves tôt humés
Dans la hagarde canicule…
Indicible, et le front vêtu
De pierres gemmes en guirlande,
Par quel géant gardée es-tu
Aux grottes de Nortoberlande,
La prime et l’ultime, et pennon
Où l’aure des promesses joue,
Et molette de bon renom
Brochant le désir qui s’ébroue ! »
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Le vent berce sur l’eau l’ombre du bouleau,
Le vent berce la blanche lune sur l’eau.