Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
I
Là-bas, où, sous les ciels attiques,
Les crépuscules radieux
Teignent d’améthyste les Dieux
Sculptés aux frises des portiques ;
Où, dans le feuillage argenté
Des peupliers aux torses maigres,
Crépitent les cigales aigres
Ivres des coupes de l’Été ;