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TOUTE LA BABIOLE


voilà pourtant le but inepte des choses.


Les fins parfums de la jupe qui froufroute
Le long du trottoir blanc comme la grand’route,
Les lourds parfums de la lourde chevelure,
Nattes au dos, torsades sur l’encolure.

La pénitence après le péché, sans doute
L’orgueil et l’avarice et l’envie, et toute
La babiole ; et l’amour de la nature,
Et même la lune à travers la verdure ;