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De ta douce lueur, ô Phébé, favorise
Ma plaintive chanson qu’emporte au loin la brise,
Et fais que mes soupirs, de l’écho répétés,
Etonnent la frayeur des antres redoutés.
De ta douce lueur, ô Phébé, favorise
Ma plaintive chanson qu’emporte au loin la brise,
Et fais que mes soupirs, de l’écho répétés,
Etonnent la frayeur des antres redoutés.