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Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/96

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— 86 — Quand la ville s’endort sous les voiles flottants^ C’est assez d’ouvrir ma fenêtre : Comme sur un grand fleuve, énorme, tu t’étends. Nuit, secrète nuit, en mon être ! 

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