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Mais, qu’auprès de la voix de l’arbre solitaire,
Les roseaux, la chênaie exhalent un vain bruit,
Quand sur la triste plaine où descend le mystère,
Elle lamente au vent qui précède la nuit !
Mais, qu’auprès de la voix de l’arbre solitaire,
Les roseaux, la chênaie exhalent un vain bruit,
Quand sur la triste plaine où descend le mystère,
Elle lamente au vent qui précède la nuit !