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En vain il chante, enflant ses branches insensées,
La sève et le matin ;
Mais votre triste front, où je lis vos pensées,
Surmonte le destin.
En vain il chante, enflant ses branches insensées,
La sève et le matin ;
Mais votre triste front, où je lis vos pensées,
Surmonte le destin.