Cette page n’a pas encore été corrigée
non, je ne tuerai pas mes enfants pour te plaire !
Tu ne me verras pas nuit et jour dans les pleurs,
expier mon forfait par de justes malheurs !
on ne distingue point le faux du véritable
comme la nuit du jour,
mais aux yeux de chacun le paternel amour
toujours paraît aimable.
hélas ! Infortuné ! Je n’ai donc plus d’amis
pourquoi leur demander ce qui n’est pas permis ?
ne m’abandonne pas : un même sang nous lie,
mon frère.