Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
SCÈNE IV
LES MÊMES, IPHIGÉNIE, ORESTE
Pourquoi baisser tes yeux qui sont mes plus doux charmes
Ma fille, tu me vois et tu verses des larmes.
Ah ! par où commencer à plaindre mon tourment ?
Tant de maux ont-ils fin, ont-ils commencement ?