Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/107

Cette page n’a pas encore été corrigée
LE VIEILLARD


un vieillard, mais les ans ne me font pas tremblant ;
tout à l’heure, tu vas savoir pourquoi je tremble.
Dis-moi, devant la porte êtes-vous seuls ensemble,
la reine et toi ?

ACHILLE


vieillard, nous sommes seuls ici.
Mais que veux-tu ?
C’est bien. ô fortune, merci !
Avisons maintenant et que le ciel ait cure
de ceux qui me sont chers.

ACHILLE


ta parole est obscure