Page:Moréas - Esquisses et Souvenirs, 1908.djvu/89

Cette page n’a pas encore été corrigée


… Un professeur qui se mêle de théâtre, éprouve-t-il la plus grande émotion de sa vie le jour où il parvient à franchir le seuil d’une loge d’actrice ? Becque l’affirme. Il avait une haute estime pour l’esprit et le talent de Weiss : mais il ne l’a pas raté. Il cite de lui cette exclamation fort ridicule : « Je ne passe jamais devant les Variétés sans ressentir le frisson de la vie parisienne ! »




… Voilà un joli mot de Becque sur une critique dénuée de loyauté : « Cela est fait de main de traître. »