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Moi revenu le matin, bateau à l’ancre, tout paré…
Il ajouta :
— Seulement voilà, faudrait pas attendre. Le temps pourrait bien changer.
Je lui dis :
— Mais demain, si tu veux. Nous sommes prêts.
— Demain, non. On sort avec le père. Après-demain.
— Soit, après-demain.
Je n’ai pas osé l’embrasser. Mais je n’avais de ma vie serré avec autant de cœur la main d’un homme.