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DES MATIERES.

a un pouvoir exorbitant, I. 28. Il ne peut y en avoir dans un état despotique, I. 67. Doivent-ils être autorisés à refuser les emplois publics ? I. 138. Comment doivent se conduire dans le cas de la défense naturelle, I. 275. Cas où, de quelque naissance qu’ils soient, ils doivent être jugés par les nobles, I. 327, 328. Cas dans lesquels ils sont libres de fait, & non de droit ; & vice versâ, I. 379, 380. Ce qui attaque le plus leur sureté, I. 380. Ne peuvent vendre leur liberté pour devenir esclaves, II. 63, 64. Sont en droit d’exiger de l’état une subsistance assurée, la nourriture, un vêtement convenable, & un genre de vie qui ne soit point contraire à la santé : moyen que l’état peut employer pour remplir ces obligations, III. 120. Ne satisfont point aux lois en se contentant de ne pas troubler le corps de l’état ; il faut encore qu’ils ne troublent pas quelque citoyen que ce soit, III. 178.

Citoyen Romain. Par quel privilege il étoit à l’abri de la tyrannie des gouverneurs de province, I. 357. Pour l’être, il falloit être inscrit dans le cens : comment se faisoit-il qu’il y en eût qui n’y fussent pas inscrits ? III. 255, 256.

Civilité. Ce que c’est : en quoi elle differe de la politesse : elle est chez les Chinois pratiquée dans tous les états ; à Lacédémone, elle ne l’étoit nulle part ; pourquoi cette différence, II. 204, 205.

Classes. Combien il est important que celles dans lesquelles on distribue le peuple dans les états populaires soient bien faites, I. 20. Il y en avoit six à Rome : distinction entre ceux qui étoient dans la derniere : comment on abusa de cette distinction pour éluder la loi voconienne, III. 255, 256.

Claude empereur. Se fait juge de toutes les affaires, & occasionne par-là quantité de rapines, I. 161. Fut le premier qui accorda à la mere la succession de ses enfans, III. 163.

Clémence. Quel est le gouvernement où elle est le plus nécessaire, I. 190 & suiv. Fut outrée par les empereurs grecs, I. 192.