de commerce avec eux, II. 330, 331. Pourquoi tiennent peu à leur religion, III. 164.
Barbares qui conquirent l’empire romain. Leur conduite après la conquête des provinces romaines, doit servir de modele aux conquérants, I. 280. C’est de ceux qui ont conquis l’empire romain & apporté l’ignorance dans l’Europe, que nous vient la meilleure espece de gouvernement que l’homme ait pu imaginer, I. 337 & suiv. Ce sont eux qui ont dépeuplé la terre, III. 112. Pourquoi ils embrasserent si facilement le christianisme, III. 166. Furent appelés à l’esprit d’équité par l’esprit de liberté : faisoient les grands chemins aux dépens de ceux à qui ils étoient utiles, III. 225, 226. Leurs lois n’étoient point attachées à un certain territoire : elles étoient toutes personnelles, III. 270 & suiv. Chaque particulier suivoit la loi de la personne à laquelle la nature l’avoit subordonné, III. 272. Etoient sortis de la Germanie : c’est dans leurs mœurs qu’il faut chercher les sources des lois féodales, IV. 3. Est-il vrai qu’après la conquête des Gaules, ils firent un règlement général pour établir partout la servitude de la glebe ? IV. 9. Pourquoi leurs lois sont écrites en latin : pourquoi on y donne aux mots latins un sens qu’ils n’avoient pas originairement : pourquoi on y en a forgé de nouveaux, IV. 35, 36.
Barons. C’est ainsi que l’on nommoit autrefois les maris nobles, III. 334.
Basile empereur. Bizarreries des punitions qu’il faisoit subir, I. 185.
Bâtards. Il n’y en a point à la Chine : pourquoi, III. 70, 71. Sont plus ou moins odieux, suivant les divers gouvernemens, suivant que la polygamie ou le divorce sont permis ou défendus, ou autres circonstances, III. 71, 72. Leurs droits aux successions, dans les différens pays, sont réglés par les lois civiles ou politiques, III. 203.
Bâton. Ç’a été pendant quelque temps la seule arme permise dans les duels ; ensuite on a permis le choix du bâton ou des armes ; enfin la qualité des combattans, a décidé, III. 320, 321. Pourquoi encore aujourd’hui regardé comme l’instrument des outrages, III. 322.