celles de Spinosa ; & qu’il lui est arrivé qu’on l’a si peu entendu, que l’on n’a pris pour des opinions de Spinosa les objections qu’il fait contre le spinosisme. Avant d’entrer en dispute, il faudroit commencer par se mettre au fait de l’état de la question ; & savoir du moins si celui qu’on attaque est ami ou ennemi.
Le critique continue : Sur quoi l’auteur cite Plutarque, qui dit que la loi est la reine de tous les mortels & immortels. Mais est ce d’un païen, &c.
Il est vrai que l’auteur a cité Plutarque, qui dit que la loi est la reine de tous les mortels & immortels.
L’auteur a dit, que la création, qui paroît être un acte arbitraire, suppose des regles aussi invariables, que la fatalité des athées. De ces termes, le critique conclut que l’auteur admet la fatalité des athées.