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seroit possible, les raisons qui ont pu faire qu’on s’en est dégoûté, ou qu’ils sont restés dans l’oubli, et, enfin, comment on y a suppléé.

Je voudrois aussi qu’on traitât des maladies qui 5 ne sont plus, et de celles qui sont nouvelles, les (sic) raisons de la fin des unes et de la naissance des autres.

Je voudrois encore que l’on recueillît toutes les citations de saint Augustin, des auteurs perdus et autres, etc.

1o 952 (326. I, p. 335). — Facienda est extractio extractorum nominata tRidicula*.

953(363. I, p. 354). — Un homme vouloit faire l’histoire des maux faits par les cardinaux.

954 (446. I, p. 390). — Une histoire civile du 15 royaume de France, comme Giannone a fait YHistoire civile du Royaume de Naples.

955 (598. I, f° 447). — Je disois que l’on devroit faire une histoire byzantine, au lieu du recueil de tant de volumes in-folio d’auteurs détestables

3o qu’on en a.

X. ESTHETIQUE.

956(272. I, p. 292). — Le père Buffier a défini la beauté : l’assemblage de ce qu’il y a deplus commun. Quand sa définition est expliquée, elle est excelT. n. g