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Page 333, note 1.— Voyez ci-dessus, tome Ier, page 429, un passage du traité des Princes.

Page 334, ligne 12. — Montesquieu voulait, d’abord, insérer ici un article qui commençait en ces termes: « La tranquillité des gouvernements despotiques est comme le silence... >

Page 334, ligne 13. — Il y avait d’abord: « qu’au-dehors, sa cause en est. >

Page 334, ligne 27. — Le mot Presque a été ajouté après coup.

Page 335, ligne 1. — C’est en l’an 40 que Philon, le Juif, fut député par ses coreligionnaires auprès de Caligula.

Page 336, lignes 20 et 21.— Cet alinéa a été ajouté après coup.

Page 336, note 1.— Voyez ci-dessus, tome Ier, page 424, un passage du traité des Princes.

Page 337, ligne 11. — Montesquieu avait commencé, d’abord, cet article en ces termes: « Nous laissons à nos supérieurs Vavantage, les peines du commandement, pour avoir le. » Les mots l’avantage avaient été biffés pour être remplacés par les Peines. Puis, l’auteur renonça à cette première rédaction.

Page 339, lignes 1 et 2.— Cet article commençait d’abord ainsi: « Il n’y a d’heureux. »

Page 339, ligne 8. — Après elle, Montesquieu avait d’abord mis: « Pol. >, pour Polignac, sans doute.

Page 340, ligne 16. — Il y avait d’abord: « y a à. >

Page 340, ligne 21. — Le mot grand a été ajouté après coup.

Page 340, note 1.— Voyez l’Esprit des Lois, liv. XII, chap. v111.

Page 343, ligne 13. — Il y avait d’abord: t armée, ôte les. »

Page 343, lignes 21 à 23. — Cet alinéa a été intercalé, dans le manuscrit, entre la fin de l’article auquel il se rapporte, et l’article suivant.

Page 343, note 1. — Cette note est écrite en marge et d’une main étrangère.

Page 344, ligne 2. — Jean-Frédéric, baron de Stain, né en 1681 et mort en 1735, était ministre du duc de Brunswick quand Montesquieu fit sa connaissance, en 1729, à Brunswick même, et put apprécier ses facultés éminentes.

Page 345, lignes 24 et suiv. — Tout cet article est très soigneusement biffé.

Page 345, ligne 25. — Pour wichs, il faut, bien entendu, lire whigs.

Page 346, ligne 4. — Il est question d’un M. Domville dans une lettre de Montesquieu à Thomas Nugent, traducteur de l’Esprit des Lois en anglais, lettre datée du 18 octobre 1750 (Voyez les Œuvres complètes, tome VII, page 353).

Page 350, lignes 23 et suiv. — Cet article a été écrit quand la Sicile appartenait à l’empereur d’Allemagne, en vertu du traité de la Quadruple-Alliance, du 2 août 1718. Montesquieu en changea quelques mots quand le traité de Vienne, du 18 novembre