Page:Montesquieu - Pensées et Fragments inédits, t2, 1901.djvu/577

Cette page n’a pas encore été corrigée


Page 306, ligne 24. — Les mots ou six ont été ajoutés après coup.

Page 310, note 1. — Montesquieu renvoie-t-il ici au chapitre v ou au chapitre XII du livre XIX de l’Esprit des Lois ?

Page 3 1l, ligne 15. — II y avait d’abord: « craignez aucun des desseins qui. »

Page 311, lignes 22 et 23. — Il y avait d’abord: « et à lafaculté que Von a pour. »

Page 3u, ligne 25. — Il y avait d’abord: «ayant détruit l’armée. »

Page 311, notes 1 et 2.— Ces notes, qui sont biffées, prouvent, comme celles de la page suivante, que Montesquieu avait eu la pensée d’insérer dans la Grandeur des Romains plusieurs de ses réflexions sur « les forces de la France ».

Page 312, ligne 6. — Il y avait d’abord : « Elles seraient arrivées, partie. »

Page 312, lignes 26 et 27. — Les mots et en forme le siège ont été ajoutés après coup.

Page 312, ligne 27. — Il y avait d’abord avant que, au lieu de lorsqu’à peine. Page 312, note 2. —Voyez ci-dessus le n° 1769. Page 313, note 1. — Voyez les Considérations, chap. XVI. Page 314, lignes 5 à 7.— Tout le passage qui commence par les mots des ennemis, et qui finit par à l’affoiblir, a été ajouté après coup.

Page 314, lignes 19 et 20. — Il y avait d’abord: « une insolence naturelle. >

Page 314, note 1. —Voyez l’Esprit des Lois, liv. XIX, chap. Xxv11, alin. 39.

Page 314, note 2. — Voyez la Monarchie universelle, § 2. Page 315, ligne 7. — Il y avait d’abord: « Ce ne sont jamais que les. >

Page 315, lignes 14 et 15. — Il y avait d’abord: «l’État ne suit pas la monarchie qui. >

Page 315, note 1. — Bien que cette note et la pensée à laquelle elle se rapporte aient été biffées, cette pensée a bien été mise dans les Considérations, où elle se trouve au chap. xvm. Page 316, note 1. — Voyez la Monarchie universelle, § 18. Page 317, ligne 10. — C’est à la guerre de la Succession d’Espagne qu’il est fait allusion dans ce passage.

Page 317, lignes 23 à 25. — Montaigne, Essais, liv. III, chap. x.