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Page 176, lignes 5 et 6. — Il y avait d’abord: «confrairies, pèlerinages, assemblées. >

Page 176, lignes 9 et suiv. — Montesquieu n’aurait.il pas écrit ce morceau pour en faire la prélace de l’Histoire véritable? Voyez ses Mélanges inédits, page 29.

Page 178, lignes 9 et 10. — Montesquieu avait mis d’abord II n’y a que les princes, au lieu de Les princes sont à peine.

Page 178, lignes 24 et 25. — Le mot surtout a été ajouté après coup.

Page 180, ligne 5. — Les mots disoit M. Lomillini ont été ajoutés après coup.

Page 180, lignes 19 et 20. — Des trois personnages dont Montesquieu parle ici, le premier, Marlborough, n’est que trop connu des Français. Quant aux deux autres, il doit s’agir de Richard Temple (1669-1749), vicomte de Cobham, et de Jean Campbell (1678-1743), duc d’Argyle, qui jouèrent également un rôle considérable en Angleterre au commencement du xvn16 siècle.

Page 181, lignes 11 à 13. — Voyez Plutarque, Vie de Marius, chapitre 11.

Page 182, ligne 4.— Après leur esprit, Montesquieu avait mis d’abord : t Ils se donnent bien des mouvements pour... — Ils quittent avec plaisir les emplois qu’ils ont le plus désirés. »

Page 182, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. XIX, chap. Xxv11, alin. 66.

Page 183, note 1. — lbid., liv. XIX, chap. xxv11, alin. 63.

Page 185, ligne 2. — Peut.être faut-il lire craignent, bien que ce mot soit biffé au-dessous de la surcharge que nous lisons craignons.

Page 186, ligne 12. — Le mot service a été ajouté après coup.

Page 190, ligne 6. — Le mot vra1s a été ajouté après coup.

Page 190, ligne 7. — Les mots leur voisin ont été ajoutés après coup.

Page 191, ligne 12.— Dom Augustin Calmet (1672-1757), savant bénédictin, écrivit, entre autres ouvrages, un Commentaire littéral de l’Ancien et du Nouveau Testament.

Page 191, ligne 13. — Sanchoniaton est un vieil auteur phénicien. Son Histoire fut traduite en grec au IIe siècle après J.-C. Il en subsiste des fragments.

Page 191,ligne 15. — Porphyre (233-305),philosophe de l’Ecole d’Alexandrie, écrivit, en effet, contre les Chrétiens.

Page 191, ligne 27. — Phérécyde, philosophe grec, écrivit, au v1° siècle avant J.-C, une Théogonie.