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1353(1323.II, f°185).— Je disois de B qu’il ne falloit l’avoir pour ami, ni pour ennemi ; qu’il n’étoit écouté de personne ; mais qu’il l’étoit cependant de tout le monde.

1354 (2206. III, f° 464). — Mon ami et mon protec- 5 teur en Angleterre, feu M. le duc de Montaigu : il étoit comme ces pierres dont on tire du feu, et qui restent froides.

1355 (2124. m, f° 35o). — Mon ami M. Fawlkes, président de la Société royale : si on m’avoit 1o demandé quels défauts il avoit dans le cœur et dans l’esprit, j’aurois été embarrassé de répondre.

1356(132o. II, f° 185). — Mairan, si supérieur à tout dans les sciences, et qui employe tous les petits ressorts pour se faire, de tous côtés, de la repu- 15 tation. Je le compare à ce Breton, marquis de Comaduc, qui avoit cent mille livres de rente et demandoit l’aumône. Ceux qui craignent tant pour leur réputation et sont blessés des plus petites choses, ils sont comme les corps de M. de Newton, 2o sur lesquels on agit in distans.

1357(2125. III, f° 35ov°).— Il me sembloit que le chevalier Metuezen(?) ne savoit jamais que la moitié des choses.

1358* (1493. II, f° 223). — L’abbé du Vaubrun.— *5 Avec un caractère grave et un air sérieux, il fut