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dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 169. On y trouvera une comparaison de Henri III avec Charles Ier, roi d’Angleterre (page 181), et une étude spéciale sur les vices et sur les fautes de Henri III (page i83).

Page 353, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. VIII, chap. IX.

Page 355, note 1, ligne 5. — Pierre de L’Estoile (1540-1611) a laissé un Journal du Règne de Henri III, publié en 1621, et un Journal du Règne de Henri IV, publié en 1719 seulement. C’est à la fin de ce dernier que se trouve la mention des faits que Montesquieu relève dans cette note.

Page 35ç, note 1. — Jean-Baptiste Nani (1610-1678) est l’auteur d’une Histoire de la République de Venise, dont Montesquieu possédait la 2e (iô63) et la 38 édition (1676).

Page 361, ligne 4. — Toute la fin de l’alinéa, à partir des mots La Maison d’Autriche, a été ajoutée après coup, et, en partie, au-dessus de quelques lignes, très soigneusement biffées, dont la teneur se retrouve plus loin, ligne 27.

Page 364, ligne 8. — Après les mots ses serviteurs, il y a, dans le manuscrit, un passage rayé: « et regardoit leur perte avec une indifférence qui n’a guère jamais eu d’exemple. »

Page 364, note 1. — Claude de Bourdeilles, comte de Montrésor (i6o8-i663), neveu de Brantôme et favori de Gaston, duc d’Orléans, a écrit des Mémoires, publiés à Cologne l’année de sa mort, mais dont Montesquieu possédait l’édition de 1723.

Page 366, ligne 6.— Les mots de Cinq-Mars, ou plutôt de SaintMarc, sont écrits au-dessus des mots le Grand, qui sont rayés.

Page 368, lignes 14 à 16.— Les onze derniers mots de cet alinéa ont été ajoutés après coup, par Montesquieu lui-même. Quel est le troisième méchant citoyen dont il s’agit ici? On a supposé que c’était Maurepas. Alors l’addition serait bien postérieure à la transcription du texte qu’elle complète. Les Morceaux... sur VHistoire de France sont, en effet, insérés dans la première moitié du tome II des Pensées, et, par conséquent, ont dû l’être vers 1740.

Page 369, ligne 24. — Le mot lettres a été écrit, par Montesquieu lui-même, à la place du mot négociations. — Godefroy, comte d’Estrades (16o7-1686), maréchal de. France et diplomate, laissa des papiers, dont on a tiré ses Lettres, Mémoires et Négociations, publiées pour la première fois, mais très mal, en 17o9, soi-disant à Bruxelles, chez Henri Le Jeune, et en réalité a La Haye, chez Abraham de Hondt.