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NOTES

Page 149, ligne 5. — Les quatre premières lignes du fragment que nous donnons ici sont biffées dans l’original. Nous les rétablissons pour rendre intelligible la pensée de Montesquieu. En revanche, nous avons omis dans le texte la fin d’une phrase incomplète, dont le commencement se trouvait à la page 8 de la première rédaction : « … rappellera le visage du père ou de la mère, c’est-à-dire : fera ressembler. »

Page 151, lignes 14 a 16. — Il faudrait ici : « Pour l’intromission du sang et par le refus de l’intromission des esprits », au lieu du membre de phrase que donne le manuscrit, et qui est identique à celui qui le précède.

Page 152, ligne 18. — L’alinéa qui commence ici a été écrit par Montesquieu lui-même, en marge d’un passage biffé.

Page 152, ligne 22. — L’alinéa qui commence ici a été écrit par Montesquieu lui-même, sur un morceau de papier fixé par une épingle à la page 49 de la première rédaction de l’Essai.

Page 153, note 1. — Cette note est autographe.

Page 157, ligne 1. — En tête de la première page du manuscrit, on lit une note ainsi conçue : « Entièrement de la main de Montesquieu. »

Page 157, ligne 13. — Il est curieux de comparer l’alinéa qui commence ici, et toute la suite, avec le chapitre viii du livre III des Essais de Montaigne, sur l’Art de conférer. Voyez notamment le passage qui débute par ces mots : « On s’aperçoit ordinairement aux actions du monde… »

Page 160, ligne 12. — C’est de la minorité de Louis XV que Montesquieu nous semble parler ici.

Page 162, ligne 11. — L’alinéa qui commence ici est à rapprocher d’un passage du chapitre xvii du livre II des Essais de Montaigne : « Je ne sçais quelle commodité, ils attendent… »

Page 163., ligne 20. — L’alinéa qui commence ici est à rapprocher d’un passage du chapitre viii du livre III des Essais de Montaigne : « Ouy, mais il a mené à poinct ce grand affaire… »

Page 165, note 1. — Marc-René, marquis d’Argenson, né le 4 novembre 1652 et mort le 8 mai 1721, fut garde des sceaux et président du Conseil des finances, de 1718 à 1720 ; puis, ministre d’État.

Page 166, ligne 16. — A la suite de l’alinéa qui se termine par cette ligne, il y a un tiret dans le manuscrit.

Page 166, note 1. — Claude Le Blanc, né le 1er décembre 1669 et mort le 19 mai 1728, fut secrétaire d’État de la guerre de 1718 à 1723 et de 1726 à 1728.