qu’il a insérés dans l’Esprit des Lois, au livre XIV, chapitre ii, dont ils forment les alinéas 12 et 13, et chapitre x, dont ils forment les alinéas 1, 2 et 7. Montesquieu a, d’ailleurs, remanié le texte qu’il empruntait ainsi à l’Essai sur les Causes, Il a noté ces emprunts en écrivant cinq fois : « Mis », en marge du manuscrit de cet ouvrage. A côté du passage qui est devenu le second alinéa du chapitre x, se trouve une note qui n’est pas biffée, et qui n’est pas reproduite dans l’Esprit des Lois :
« Voyez du sang mêlé avec de l’eau où vous infuserez de l’esprit de vin. »
Page 110, notes. — Les trois notes sont autographes.
Page 111, ligne 13. — Il faudrait : aux palestres, au lieu de : au palestre, puisque palestre est du féminin.
Page 111, note 1. — Cette note est autographe. L’ouvrage auquel Montesquieu l’a empruntée est le recueil de fragments publiés par Henri de Valois (Paris, 1634, in-4o) sous le titre d’Excerpta…
Page 112, note 1. — Cette note est autographe. Elle est écrite sur un morceau de papier fixé par une épingle à la page 21 du manuscrit.
Page 113, note 1. —— Cette note est autographe. Elle est écrite sur un morceau de papier fixé par une épingle à la page 23 du manuscrit.
Page 113, notes 2 et 3. — Ces notes sont autographes. Elles sont écrites sur deux morceaux de papier intercalés, sans renvoi, entre les pages du manuscrit. Nous les rattachons aux passages qu’elles nous semblent compléter.
Page 114, note 1. — Cette note est autographe.
Page 116, notes. — Ces notes sont autographes. Montesquieu vise sans doute, dans la première, avant-dernier paragraphe du traité Des Airs, des Eaux et des Lieux, par Hippocrate. Disons, toutefois, que, dans l’édition qu’il a publiée de cet ouvrage, Coray a réuni les autres passages d’auteurs anciens auxquels il peut être fait allusion ici.
Page 117, ligne 17. — A la suite de l’alinéa qui se termine ici, Montesquieu en a biffé deux, et a écrit en marge : « Mis ces deux articles effacés ailleurs ». Ils sont relatifs à l’influence de l’air et aux effets des voyages. On en retrouve quelque chose aux fragments des pages 152 et 153.
Page 117, note 1. — Cette note est autographe.
Page 118, note 3. — Cette note est autographe. — A la suite de l’alinéa auquel elle se rattache, Montesquieu en a biffé
