Page:Montesquieu - Mélanges inédits, 1892.djvu/331

Cette page n’a pas encore été corrigée
265
NOTES

tesquieu, au crayon, au-dessus des mots secondé des Dieux, qu’il a biffés.

Page loi, note 1. — Cette note est autographe et écrite au crayon.

Page 102, notes. — Ces notes sont autographes et écrites au crayon.

Page 103, note 1. — Cette note est autographe et écrite au crayon.

Page 109, ligne 12. — A cet endroit, l’auteur a biffé une série d’alinéas qu’il a insérés dans l’Esprit des Lois, ainsi qu’il l’a constaté en marge de la page 1 du manuscrit de l’Essai sur les Causes, par cette note autographe : « Mis dans les Loix ; note qu’il répète, plus loin, en marge de la page 5, dans les mêmes termes, et en marge de la page 8, sous cette forme : « Mis tout cela ». Les passages empruntés à l’Essai forment les alinéas 1 à 7 du chapitre ii du livre XIV de l’Esprit des Lois. C’est à eux que se rapportent les notes écrites sur trois morceaux de papier intercalés entre les pages du manuscrit, notes conçues en ces termes :

« Faire une expérience sur un tendon, sur un nerf. Le mettre, tout du long, dans un long tuyau de verre arrêté par deux bouchons. Mettre à la glace. Voir si le nerf se racourcit à la glace. — Idem, si le tendron (sic). »

« Ext. Hist. univ. — Constitution du climat de l’Espagne ancienne, p. 193. »

« Extrait d’Hérodote, p. 424, vol. Hist. universelle : « Caricœ gentis omnium illius temporis ingeniosissimœ. » — Vide hic tria inventa. »

Les quatre derniers mots de la troisième note ne sont pas empruntés à la traduction d’Hérodote, mais renvoient à la suite du passage cité. — Voyez Hérodote, I, clxxi.

Page 109, ligne 13. — L’alinéa qui commence ici a été écrit par Montesquieu lui-même, à la page 2 du manuscrit, en marge des passages biffés.

Page 109, note 1. — Cette note a été écrite par Montesquieu lui-même, en tête de la page 1 du manuscrit.

Page 110, ligne 21. — A cet endroit, l’auteur a biffé quatre alinéas, qu’il a insérés, en les retouchant, dans l’Esprit des Lois, au livre XIV, chapitre ii, dont ils forment les alinéas 8 à 11. Il a noté cet emprunt, dans le manuscrit de l’Essai sur les Causes, en écrivant trois fois en marge : « Mis ».

Page 110, ligne 26. — A cet endroit, l’auteur a biffé six alinéas