Page 16, note 4, lignes 2 et 3. — L. Furius Camillus et Ap. Claudius Crassus furent consuls en l’an 349 avant J.-C.
Page 16, note 5. — Appian ou Appien d’Alexandrie, auteur grec du iie siècle après J.-C., écrivit une Histoire Romaine, dont huit livres (sur vingt-quatre) nous sont parvenus. Montesquieu s’est beaucoup servi de son ouvrage dans les Considérations, notamment aux chapitres iii, iv, vii, ix et xi. Il désigne les livres qu’il utilise par le nom des guerres dont il y est traité. — e n’a pas liv. I.
Page 17, ligne 1. — Dans les Corrections des Considérations, page 47, se trouve une indication biffée, qui se rapporte ici, et qui nous apprend que Montesquieu avait songé à insérer
en cet endroit un chapitre additionnel. Dans ce chapitre, dont le titre devait être : Pourquoi la Guerre continuelle est destructive aujourd’hui, il avait utilisé bien des passages de ses Réflexions sur la Monarchie universelle en EuropeErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : les références sans nom doivent avoir un contenu.. On en trouvera le texte, à la page 181 de ce volume, dans
l’Appendice des Considérations.
Page 17, lignes 8 et 9. — Montesquieu, dans ses ouvrages connus et inédits, fait des allusions
fréquentes aux cruautés commises en Amérique par les Espagnols ; il avait spécialement étudié
l’Histoire de la Conquête du Mexique, par Antoine de SolisErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : les références sans nom doivent avoir un contenu..
Page 17, lignes 13 à 16. — Pyrrhus, roi d’Épire de 295 à 272, fit la guerre aux Romains de 280 à 274 avant J.-C.
empereur Page 17, nole 1. a, a′, a″, n’ont pas cette note. Dion ou Dion Cassius, auteur grec né à Nicée, vers le milieu du nº siècle après J.-C., écrivit une Histoire Romaine, dont il reste dix- neuf livres (sur quatre-vingts) et quelques fragments. Montesquieu s’est beaucoup servi de cet ouvrage, spécialement dans les chapitres XII à xvi des Considérations. Il cite ici un fragment qui nous a été conservé par Constantin VII, Constantin VII, dit Porphyro- d’Orient. génète, né en go5, succéda à Léon VI, son père, le 11 mai 911 et mourut le 15 novembre 959. Il écrivit, entre autres ouvrages, un Traité de l’Administration de l’Empire et deux compilations, qui se composent d’extraits de divers auteurs, et qui ont pour titres : Des Ambassades et Des Verlus el des Vices. Montesquieu cite fréquemment ces œuvres de Constantin, spécialement dans les chapitres XVI, XXI et XXIII des Considérations. MONTESQUIEU
Page 18, lignes à 3. A, A’, A", n’ont pas cet alinéa. Dans les Corrections des Consi- dérations, page 45, se trouve une indication billée, qui se rapporte ici : (( (( Page 26, après la ligne 26, mettez cet article : Tarente, son alliée, ville d’origine lacédémonienne (), avait bien dégénéré de l’institution « de ses ancètres. Pyrrhus trouva ses citoyens noyés dans la volupté. Il aurait pu faire de grandes choses avec les Samnites ; mais les Romains les avaient déjà presque détruits. » Selon Florus. » (( ( En marge, on lit : « » Mis. » w (Deux Opuscules de Montesquieu, publiés par le baron de Montesquien (Bordeaux, G. Gounouilhon, 1891), page 11. Pensées manuscrites, tome 1, page 512. 1
