ibid. Étoient obligés, dans les commencements
de la monarchie, à un double service ; et c’est dans
ce double service que l’auteur
trouve l’origine des justices seigneuriales,
XXX, 18. Pourquoi ceux
des évêques et des abbés étoient
menés à la guerre par le comte,
ibid. Les prérogatives de ceux du
roi ont fait changer presque tous
les aïeux en fiefs : quelles étoient
ces prérogatives, XXXI, 8. Quand
ceux qui tenoient immédiatement
du roi, commencèrent à tenir immédiatement,
XXXI, 29.
Vasselage. Son origine, XXX, 3.
Vénalité des charges. Est-elle utile, V, 19.
Vengeance. Étoit punie, chez les Germains, quand celui qui l’exerçoit avoit reçu la composition, XXX, 19.
Venise. Comment maintient son aristocratie contre les nobles, II, 3. Utilité de ses inquisiteurs d’état, ibid. En quoi ils diffèrent des dictateurs romains, ibid. Sagesse d’un jugement qui y fut rendu entre un noble Vénitien et un simple gentilhomme, V, 8. Le commerce y est défendu aux nobles, ibid. Il n’y a que les courtisanes qui puissent y tirer de l’argent des nobles, VII, 3. On y a connu et corrigé, par les lois, les inconvénients d’une aristocratie héréditaire, VIII, 5. Pourquoi il y a des inquisiteurs d’état : différents tribunaux dans cette république, XI, 6. Pourrait plus aisément être subjuguée par ses propres troupes, que la Hollande, ibid. Quel étoit son commerce, XX. 4. Dut son commerce à la violence et à la vexation, XX, 5. Pourquoi les vaisseaux n’y sont pas si bons qu’ailleurs, XXI, 6. Son commerce fut ruiné par la découverte du cap de Bonne-Espérance, XXI, 21. Loi de cette république contraire à la nature des choses, XXVI, 24.
Vents alisés. Étoient une espèce de boussole pour les anciens, XXI, 9. Vérité. Dans quel sens on en fait cas dans une monarchie, IV, 2. C'est par la persuasion, et non par les supplices, qu’on la doit faire recevoir, XXV, 13.
Verres. Blâmé par Cicéron de ce qu’il avoit suivi l’esprit plutôt que la lettre de la loi voconienne, XXVII, 1.
Vertu. Ce que l’auteur entend par ce mot, III, 5 n ; IV, 5. Est nécessaire dans un état populaire : elle en est le principe, III, 3. Est moins nécessaire dans une monarchie que dans une république, ibid. Exemple célèbre qui prouve que la démocratie ne peut, ni s’établir ni se maintenir, sans vertu, en Angleterre et à Rome, ibid. On perdit la liberté, à Rome, en perdant la vertu, ibid. Étoit la seule force, pour soutenir un état, que les législateurs grecs connussent, ibid. Effets que produit son absence, dans une république, ibid. Abandonnée par les Carthaginois, entraîna leur chute, ibid. Est moins nécessaire dans une aristocratie, pour le peuple, que dans une démocratie, III, 4. Est nécessaire dans une aristocratie, pour maintenir les nobles qui gouvernent, ibid. N’est point le principe du gouvernement monarchique, III, 5. Les vertus héroïques des anciens, inconnues parmi nous, inutiles dans une monarchie, ibid. Peut se trouver dans une monar-