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TABLE ANALYTIQUE


s’y établir. Dans cette règle n’est point comprise la religion chrétienne, qui est le premier bien, XXV, 10. Ce que l’auteur a dit sur cette matière est-il un avis, au roi de la Cochinchine, pour fermer la porte de ses états à la religion chrétienne ? D. II, art. Tolérance.

Tonquin. Toutes les magistratures y sont occupées par des eunuques, XV, 19. C’est le physique du climat qui fait que les pères y vendent leurs filles, et y exposent leurs enfants, XXIII, 16.

Toulouse. Cette comté devint-elle héréditaire sous Charles Martel ? XXXI, 28.

Tournois. Donnèrent une grande importance à la galanterie, XXVIII, 22.

TRAJAN. Refusa de donner des rescrits : pourquoi, XXIX, 17.

Traitants. Leur portrait. XI, 18. Comment regardés autrefois en France ; danger qu’il y a de leur donner trop de crédit, ibid. Leur injustice détermina Publius Rutilius à quitter Rome, ibid. On ne doit jamais leur confier les jugements, ibid. Les impôts qui donnent occasion au peuple de frauder, enrichissent les traitants, ruinent le peuple, et perdent l’État, XIII, 8. Tout est perdu, lorsque leur profession, qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, XII 1, 20. Les richesses doivent être leur unique récompense, ibid.

Traité. Ceux que les princes font par force, son aussi obligatoires que ceux qu’ils font de bon gré, XXVI, 20.

Traîtres. Comment étoient punis chez les Germains, XXX, 19.

Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, XII, 4.

Transmigration. Causes et effets de celles des différents peuples, XVIII, 3.

Transpiration. Son abondance, dans les pays chauds, y rend l’eau d’un usage admirable, XIV, 10.

Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux les plus rudes à des hommes libres, et les rendre heureux, XV, 8. Les pays qui, par leurs productions, fournissent du travail à un plus grand nombre d’hommes, sont plus peuplés que les autres, XXIII, 14. Est le moyen qu’un état bien policé emploie pour le soulagement des pauvres, XXIII, 29.

Trésors. Il n’y a jamais, dans une monarchie, que le prince qui puisse en avoir un, XX, 10. En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses, qu’il veut que nous méprisions, XXV, 7. Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du roi étoit regardé comme nécessaire à la monarchie, XXX, 4.

Tribunal domestique. De qui il étoit composé à Rome. Quelles matières, quelles personnes étoient de sa compétence, et quelles peines il infligeoit, VII, 10. Quand et pourquoi il fut aboli, VII, 11.

Tribunaux humains. Ne doivent pas se régler par les maximes des tribunaux qui regardent l’autre vie, XXVI, 11.

Tribuns des légions. En quels temps et par qui furent réglés, XI, 17.

Tribuns du peuple. Nécessaires dans une aristocratie, V, 8. Leur établissement fut le salut de la république romaine, V, 10. Occasion de leur établissement, XII, 21.