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ET ALPHABÉTIQUE.


race, XXX, 4. L’usage où ils étoient autrefois de partager leur royaume entre leurs enfants, est une des sources de la servitude de la glèbe et des fiefs, XXX, 11. Leurs revenus étoient bornés autrefois à leur domaine, qu’ils faisoient valoir par leurs esclaves, et au produit de quelques péages : preuves, XXX, 13. Dans les commencements do la monarchie, ils levoient des tributs sur les serfs de leurs domaines seulement ; ces tributs se nommoient census ou cens, XXX, 15. Bravoure de ceux qui régnèrent dans le commencement de la monarchie, XXX, 17. En quoi consistoient leurs droits sur les hommes libres, dans les commencements de la monarchie, XXX, 18. Ne pouvoient rien lever sur les terres des Francs : c’est pourquoi la justice ne pouvoit pas leur appartenir dans les fiefs, XXX, 20. Férocité de ceux de la première race : ils ne faisoient pas les lois, mais suspendoient l’usage de celles qui étoient faites, XXXI, 2. En quelle qualité ils présidoient, dans les commencements de la monarchie, aux tribunaux et aux assemblées où se faisoient les lois ; et en quelle qualité ils commandoient leurs années, XXXI, 4. Époque de l’abaissement de ceux de la première race, XXXI, 6. Quand et pourquoi les maires les tinrent enfermés dans leur palais, ibid. Ceux de la seconde race furent électifs et héréditaires en même temps, XXXI, 16. Leur puissance directe sur les fiefs. Comment et quand ils l’ont perdue, XXXI, 26.

Rois de Rome. Étoient électifs, XI, 12. Quel étoit le pouvoir des cinq premiers, ibid. Quelle étoit leur compétence dans les jugements, XI, 18.

Rois des Francs. Pourquoi portoient une longue chevelure, XYIII, 23. Pourquoi avoient plusieurs femmes, XVIII, 24. Leur majorité, XVIII, 26. Raison de leur esprit sanguinaire, XVIII, 29.

Rois des Germains. On ne pouvoit l’être avant la majorité. Inconvénients qui firent changer cet usage, XVIII, 27. Étoient différente des chefs ; et c’est dans cette différence que l’on trouve celle qui étoit entre le roi et le maire du palais, XXXI, 4.

Romains. Pourquoi introduisirent les actions dans leurs jugements, VI, 4. Ont été longtemps réglés dans leurs mœurs : sobres et pauvres, VIII, 13. Avec quelle religion ils étoient liés par la foi du serment : exemples singuliers, ibid. Pourquoi plus faciles à vaincre chez eux qu’ailleurs, IX, 8. Leur barbarie dans les conquêtes, X, 3. Leurs usages ne permettoient pas de faire mourir une fille qui n’étoit pas nubile : comment Tibère concilia cet usage avec sa cruauté, XII, 14. Leur modération dans la punition des conspirations, XII, 18. Époque de la dépravation de leurs âmes, ibid. Avec quelles précautions ils privoient un citoyen de sa liberté, XII, 19. Pourquoi pouvoient s’affranchir de tout impôt, XIII, 12. Raisons physiques de la sagesse avec laquelle les peuples du nord se maintinrent contre leur puissance, XIV, 3. La lèpre étoit inconnue aux premiers Romains, XIV, 11. Ne se tuoient point sans sujet : différence, à cet égard, entre eux et les Anglois, XIV, 12. Leur police touchant les esclaves