dans les états populaires, la division
que l'on en fait par classes
soit bien faite, ibid. Ses suffrages
doivent être publics, ibid. Son caractère,
ibid. Doit faire les lois
dans une démocratie, ibid. Quel
est son état dans l’aristocratie,
II, 3. Il est utile que, dans une
aristocratie, il ait quelque influence
dans le gouvernement, ibid. Il est
difficile que, dans une monarchie,
il soit ce que l’auteur appelle vertueux :
pourquoi, III, 5. Comment,
dans les états despotiques, il est à
l’abri des ravages dos ministres,
III, 9. Ce qui fait sa sûreté dans les
états despotiques, ibid. La cruauté
du souverain le soulage quelquefois,
ibid. Pourquoi on méprise sa
franchise dans une monarchie, IV,
2. Tient longtemps aux bonnes
maximes qu’il a une fois embrassées,
V, 2. Peut-il, dans une république,
être juge des crimes de
lèse-majesté ? VI, 5. Les lois doivent
mettre un frein à la cupidité
qui le guiderait dans les jugements
des crimes de lèse-majesté, ibid.
Cause de sa corruption, VIII, 4. Ne
doit pas, dans un état libre, avoir
la puissance législative : à qui doit
la confier, XI, 6. Son attachement
pour les bons monarques, XII, 23.
Jusqu’à quel point on doit le charger
d’impôts, XIII, 7. Veut qu’on
lui fasse illusion dans la levée des
impôts : comment on peut conserver
cette illusion, ibid. Est plus
heureux sous un gouvernement
barbare que sous un gouvernement
corrompu, XIII, 16. SON SALUT
EST LA PREMIÈRE LOI, XXVI, 23.
Peuple d’ Athènes. Comment fut divisé par Solon, II, 2.
Peuple de Rome. Son pouvoir sous les cinq premiers rois, XI, 12. Comment il établit sa liberté, XI, 14. Sa trop grande puissance étoit cause de l’énormité de l’usure, XXII, 21. Voy. Romains et Rome.
Peuple naissant. Il est incommode d’y vivre dans le célibat : il ne l'est point d’y avoir des enfants : c’est le contraire dans un peuple formé, XXIII, 10.
Peuple romain. Comment fut divisé par Servius Tullius, II, 2. Comment étoit divisé du temps de la république, et comment s’assembloit, XI, 14.
Peuples. Ceux qui ne cultivent point les terres sont plutôt gouvernés par le droit des gens que par le droit civil, XVIII, 12. Leur gouvernement, leurs mœurs, XVIII, 13. Ne tirent point leurs ornements de l’art, mais de la nature : de là la longue chevelure des rois Francs, XVIII, 23. Leur pauvreté peut dériver de deux causes qui ont différents effets, XX, 4.
PHALEAS de CHALCÉDOINE. En voulant établir l’égalité, il la rendit odieuse, V, 5.
PHÈDRE. Éloge de la Phèdre de Racine : elle exprime les véritables accents de la nature. XXVI, 4.
Phéniciens. Nature et étendue de leur commerce, XXI, 6. Réussirent à faire le tour de l’Afrique, XXI, 10. Ptolémée regardoit ce voyage comme fabuleux, ibid.
PHILIPPE DE MACÉDOINE. Blessé par Aster, XII, 24. Comment profita d’une loi de la Grèce, qui étoit juste, mais imprudente, XXIX, 5.
PHILIPPE II, dit Auguste. Ses établissements sont une des sources des coutumes de France, XXVIII, 45.
PHILIPPE IV, dit le Bel. Quelle autorité il donna aux lois de Justinien, XXVIII, 42.