mencé d’y être toléré : d’où vient
notre fatale liberté à cet égard,
ibid. Plus les mariages sont rares
dans un état, plus il y a d’adultères,
ibid. in fine. Il est contre la
nature de permettre aux filles de
se choisir un mari a sept ans,
XXVI, 3. Il est injuste, contraire
au bien public et à l’intérêt particulier,
d’interdire le mariage aux
femmes dont les maris sont absents
depuis longtemps, et dont
elles n’ont point eu de nouvelles,
XXVI, 9. Justinien n’a voit pas des
vues justes sur cette association,
ibid. Est-il bon que le consentement
des deux époux d’entrer
dans un monastère, soit une cause
de divorce ? ibid. Dans quels cas il
faut suivre, à l’égard des mariages,
les lois de la religion ; et
dans quels cas il faut suivre les
lois civiles, XXVI, 13. Dans quels
cas les mariages entre parents
doivent se régler par les lois de
la nature ; dans quels cas ils
doivent se régler par les lois
civiles, XXVI, 14. Pourquoi le mariage
entre la mère et le fils répugne
plus à la nature que le
mariage entre le père et la fille,
ibid. Les idées de religion en font
contracter d’incestueux à certains
peuples, ibid. Le principe qui le
fait défendre entre les pères et
les enfanta, les frères et les sœurs,
sert à découvrir à quel degré la
loi naturelle le défend, ibid. Est
permis ou défendu, par la loi
civile, dans les différents pays,
selon qu’il paroit conforme
ou contraire à la loi de nature,
ibid, Pourquoi permis entre le
beau-frère et la belle-sœur chez
des peuples, et défendu chez d’autres,
ibid. Doit-il être interdit à
une femme qui a pris l’habit de
religieuse sans être consacrée ?
XXIX, 16. Toutes les fois qu’on
parle du mariage, doit-on parler
de la révélation ? D. Ve Mariage.
Marine. Pourquoi celle des Anglois est supérieure à celle des autres nation 8, XIX, 27. Du génie des Romains pour la marine, XXI, 14.
Maris. Nommés barons autrefois, XXVIII, 25.
MARIUS. Coup mortel qu’il porta à la république, XI, 18.
Maroc. Causes des guerres civiles qui affligent ce royaume à chaque vacance du trône, V, 14. — (le roi de). A dans son sérail des femmes de toutes couleurs, XVI, 6.
Marseille. Pourquoi cette république n’éprouva jamais les passages de l’abaissement à la grandeur, VIII, 5. Quel étoit l’objet du gouvernement de cette république, XI, 5. Quelle sorte de commerce on y faisoit, XX, 4. Ce qui détermina cette ville au commerce ; c’est le commerce qui fut la source de toutes ses vertus, XX, 5. Son commerce, «eu richesses ; étoit rivale de Carthage, XXI, 11. Pourquoi si constamment fidèle aux Romains, ibid. La ruine de Carthage et de Corinthe augmenta sa gloire, ibid.
Martyr. Ce mot, dans l’esprit des magistrats japonois, signifioit rebelle ; c’est ce qui a rendu la religion chrétien ue odieuse au Japon, XXV, 14.
Matelots. Les obligations civiles qu’ils contractent, dans les navires, entre eux, doivent-elles être regardées comme nulles ? XXVI, 25.
Matérialistes. Leur système de fatalité est absurde, I, 1.
Maures. Comment trafiquent avec les nègres, XXII, 1.