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TABLE ANALYTIQUE


tesques dans le style, ibid. Triomphèrent en Espagne ; et le droit romain s’y perdit, XXVIII, 7. Il y en a une qui fut transformée en un capitulaire par un malheureux compilateur, XXVIII, 8. Comment cessèrent d’être en usage chez les François, XXVIII, 9. L’ignorance de l’écriture les a fait tomber en Espagne, XXVIII, 11.

Lois divines. Rappellent sans cesse l’homme à Dieu, qu’il auroit oublié à tous les instants, I, 1. C’est un grand principe qu’elles sont d’une autre nature que les lois humaines. Autres principes, auxquels celui-là est soumis.

1° Les lois divines sont invariables ; les lois humaines sont variables. 2° La principale force des lois divines vient de ce qu’on croit la religion ; elles doivent donc être anciennes ; la principale force des lois humaines vient de la crainte ; elles peuvent donc être nouvelles, XXVI, 2.

Lois domestiques. On ne doit point décider ce qui est de leur ressort par les lois civiles, XXVI, 19. Lots du mouvement. Sont invariables, 1, 1.

Lois (égalité). Loi singulière qui, en introduisant l’égalité, la rend odieuse, V, 5.

Lois (esclavage). Comment celles de l’esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat, Livre XV. Ce qu’elles doivent faire, par rapport à l’esclavage. XV, 11. Comment celles de l’esclavage domestique ont du rapport avec celles du climat, Livre XVI. Comment celles de la servitude politique ont du rapport avec la nature du climat, Livre XVII.

Lois (Espagne). Absurdité de celles qui y ont été faites sur l’emploi de l’or et de l’argent, XXI, 22.

Lois féodales. On put avoir des raisons pour appeler les mâles à la succession, à l'exclusion des filles, XXVI, 6. Quand la France commença a être plutôt gouvernée par les lois féodales, que par les lois politiques, XXVIII, 9. Quand s’établirent, ibid. Théorie de ces lois, dans le rapport qu’elles ont avec la monarchie, Livre XXX. Leurs effets ; comparées à un chêne antique, XXX, 1. Leurs sources, XXX, 2.

Lois (France). Les anciennes lois de France étoient parfaitement dans l’esprit de la monarchie, VI, 10. Ne doivent point, en France, gêner les manières : elles gèneroient les vertus, XIX, 5-8. Quand commencèrent, en France, à plier sous l’autorité des coutumes, XXVIII, 12.

Lois (Germains). Leurs différents caractères, XXVIII, 1.

Lois humaines. Tirent leur principal avantage de leur nouveauté, XXVI, 2.

Lois (Japon). Pourquoi sont si sévères au Japon, XIV, 15. Tyrannisent le Japon, XIX, 4. Punissent, au Japon, la moindre désobéissance ; c’est ce qui a rendu la religion chrétienne odieuse, XXV, 14.

Lois Juliennes. A voient rendu le crime de lèse-majesté arbitraire, XII, 10. Loi Julienne et Papienne. Ce que c’étoit, XXIII, 21. On n’en a plus que des fragments : où se trouvent ces fragments : détail de leurs dispositions contre le célibat, ibid.

Lois (liberté). De celles qui forment la liberté publique, dans son rapport avec la constitution, Livre