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TABLE ANALYTIQUE


d’abord l’usage qu’ils en firent dans de justes bornes ; mais ils les laissèrent devenir abusifs et pernicieux, XXV, 3.

GRIMOLAD. Ajouta de nouvelles lois à celles des Lombards, XXVIII, 1 .

Guèbres. Leur religion est favorable à la propagation, XXIII, 21. Leur religion rendit autrefois le royaume de Perse florissant, parce qu’elle n’est point contemplative ; celle de Mahomet l’a détruit, XXIV, 11. Leur religion ne pouvoit convenir que dans la Perse, XXIV, 26.

Guerre. Quel en est l’objet, I, 3. On ne doit point en entreprendre de lointaines, IX, 8. Dans quel cas on a droit de la faire : d’où dérive ce droit, X, 2. Donne-t-elle droit de tuer les captifs ? XV, 2. C’est le christianisme qui l’a purgée de presque toutes les cruautés, XXIV, 3. Comme la religion peut en adourcir les fureurs, XXIV, 16. Étoit souvent terminée par le combat judiciaire, XXVIII, 25. Avoit souvent, autrefois, pour motif la violation du droit politique, comme celles d’aujourd’hui ont pour cause ou pour prétexte celle du droit des gens, XXVIII, 28. Tout le monde, du temps de Charlemagne, étoit oblige d’y aller, XXXI, 27.

Guerre civile. N’est pas toujours suivie de révolutions, V, 11. Celles qui ravagèrent les Gaules, après la conquête des barbares, sont la principale source de la servitude de la glèbe et des fiefs, XXX, 11.

Guerre (état de). Comment les nations se sont trouvées en état de guerre, I, 3. Comment les particuliers sont parvenus à être en état de guerre les uns vis-à-vis des autres, ibid. Est la source des lois humaines, ibid.

Guinée. Cause de l’extrême lubricité des femmes de ce pays, XVI, 10.

Gymnastique. Ce que c’étoit ; combien il y en avoit de sortes ; pourquoi, de très-utiles qu’étoient d’abord ces exercices, ils devinrent, dans la suite, funestes aux mœurs, VIII, 11.


H


Habit de religieuse. Doit-il être un obstacle au mariage d’une femme qui l’a pris sans se consacrer ? XXIX, 16.

HANNON. Véritables motifs du refus qu’il vouloit que l’on fit d’envoyer du secours à Annibal en Italie, X, 6. Ses voyages ; ses découvertes sur les côtes de l’Afrique, XXI, 11. La relation qu’il a donnée de ses voyages est un morceau précieux de l’antiquité. Est-elle fabuleuse ? ibid.

HARDOUIN (le Père). Il n’appartient qu’à lui d’exercer un pouvoir arbitraire sur les faits, XXX, 12.

Harmonie. Nécessaire entre les lois delà religion et les lois civiles du même pays, XXIV, 14.

HÉBON, archevêque de Reims. Son ingratitude envers Louis le Débonnaire. Qui étoit cet Hébon, XXX, 25.

HENRI II. Sa loi contre les filles qui ne déclarent pas leur grossesse au magistrat est contraire à la loi naturelle, XXVI, 3.

HENRI III. Ses malheurs sont une preuve bien sensible qu’un prince ne doit jamais insulter ses sujets, XII, 28.

HENRI VIII. roi d’Angleterre. Dut